Bien que nous soyons en Touraine, ce n’est pas le Chenin, mais le Sauvignon qui est roi à Thésée chez Vincent Ricard.
Nous retrouvons avec plaisir ce jeune vigneron pour déguster quelques vins.
Côté blanc, nous débutons par le Petiot 2007 : très fruité cassis, sec avec une grosse minéralité. Bien.
Les Trois Chênes 2007 : Plus profond et plus complexe que le Petiot, il révèle en plus des notes de framboise blanche et de pamplemousse. En bouche il est long, un peu rond, bien structuré avec un beau fruité et de la minéralité. Très Bien.
Les Trois Chênes 2007 : Plus profond et plus complexe que le Petiot, il révèle en plus des notes de framboise blanche et de pamplemousse. En bouche il est long, un peu rond, bien structuré avec un beau fruité et de la minéralité. Très Bien.
Côté rouge, Vincent nous présente le Clos Vauriou 2007 (80% de Gamay, 20% de Cot, 4 jours de macération en cuve béton) : il a un nez assez proche du pineau d’Aunis avec ses notes poivrées et de mousse de chêne. En bouche, l’attaque est massive, il est vif, minéral avec des notes beurrées. Je le verrai bien avec une dorade au barbecue. Bien.
Puis vient le Vilain P’tit Rouge 2006 (80% de Cot, 20% de cabernet sauvignon, 12 mois d’élevage) : Rond et élégant il donne des notes de baie de cassis, de myrtille, de fraise et de framboise. Les tanins sont souples et soyeux avec une belle longueur. Bien +.
Puis vient le Vilain P’tit Rouge 2006 (80% de Cot, 20% de cabernet sauvignon, 12 mois d’élevage) : Rond et élégant il donne des notes de baie de cassis, de myrtille, de fraise et de framboise. Les tanins sont souples et soyeux avec une belle longueur. Bien +.
Nous entamons les douceurs avec la Cuvée Armand 2006 (30-35g de sucre résiduel) : au nez, il a la même typicité que le Trois Chênes, avec plus de rondeur mais une finale toute aussi minérale. Bien +
Et enfin nous terminons avec l’Effrontée 2006 (180g de sucre résiduel) : nous changeons totalement de gamme aromatique et partons vers les îles lointaines (papaye et poivre du Sichuan) et les vergers du Sud (pêche). Une petite gourmandise qui se boit toute seule. Très bien.
Et enfin nous terminons avec l’Effrontée 2006 (180g de sucre résiduel) : nous changeons totalement de gamme aromatique et partons vers les îles lointaines (papaye et poivre du Sichuan) et les vergers du Sud (pêche). Une petite gourmandise qui se boit toute seule. Très bien.
Pour terminer cette dégustation et nous remettre la bouche d'aplomb, Vincent nous ouvre une bouteille de pétillant blanc 2007. Malgré un premier nez de buis un peu déroutant, il se révèle très agréable en bouche et très digeste. Il ne faut pas y chercher un grand vin, mais le vin de l'amitié à partager sous les tonnelles. Bien.
Et le « ? » me direz-vous ? Cette magnifique cuvée n’ayant pas encore terminé son élevage, sa dégustation est reportée !
Gwenola
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