http://www.wines-terroirs.com/bourgogne/n84/renc.pdf
Neurobiologiste sensoriel, il a, entre autre, enseigné à l’ISIPCA du temps où j’y étais encore étudiante.
Il fait parti de ces hommes qui vous rendent intelligents. Il arrive à vous faire comprendre les concepts les plus obscurs avec beaucoup d’humour et de simplicité. C’est donc avec beaucoup de nostalgie et d’émotion que j’ai lu cette interview.
Dans cet article Le Professeur Mac Leod nous explique qu’il est impossible pour deux indivus de sentir de la même façon. La faute à qui ? A nos gênes ! En effet, il y a 347 gènes dédiés à l'olfaction et 50% sont différents d'un individu à l'autre.
Laissons donc à chacun ses propres sensations et gardons en commun le plaisir de déguster.
Gwenola
1 commentaire:
Article intelligent montrant bien la nécessité de pacifier son oenophilie ...
Frédéric Brochet a encore enfoncé le clou avec sa thèse sur les aspects cognitifs de la dégustation, prouvant l'influence de nombreux facteurs historiques, contextuels, culturels, personnels sur nos impressions (et c'est tant mieux comme cela, je partage la bienveillance de ton propos).
Récemment, nous nous sommes ainsi interrogé sur Cornélie 2005 et j'ai l'envie impérieuse de regoûter Cheval-Blanc 2004 dans pas longtemps.
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