Lors de la dégustation des vins clairs à Ay, un jeune et sympathique couple s’était présenté à nous comme étant des lecteurs assidus de notre blog.
Mais comment ont-ils eu connaissance du blog ?
Il se trouve que notre charmant petit couple fréquente très régulièrement notre bar à Champagne préféré, le Dokhan’s ! Mickaël, son chef barman, a joué les entremetteurs…
C’est donc au Dokhan’s que nous nous retrouvons tous les quatre en ce vendredi.
Nous profitons de l’occasion pour commander une bouteille de « 1522 », millésime 2000, de Philipponat.
Pour l’accompagner, Mickaël nous offre des bouchées de saumon et Saint-Jacques fumés.
Nous écoutons religieusement les explications sur le vin : Il s’agit d’un assemblage de 60% de pinot noir et 40% de chardonnay, dégorgé en juin 2008.
Tout d’abord la robe, or-ambrée, lumineuse avec des bulles fines.
Au nez, il est riche, complexe, puissant avec une note orange confite qui domine. Ensuite, se développent des notes de miel, de pêche blanche et de brioche légèrement toastée. C’est un champagne assez vineux, équilibré, long avec une finale fraîche.
L’accord avec la Saint-Jacques fumée est grandiose. Imaginez la finesse du coquillage délicatement fumé avec la note briochée du Champagne… un régal.
La vinification prenant, nous décidons de dîner tous les quatre dans les jardins du « Relais du Parc » qui se trouve à deux pas de là.
Ne sachant que choisir, nous optons pour une formule « carte blanche ». Pour corser le tout, nous aurons chacun des plats différents. Quitte à être aventureux, autant être téméraires ! Nous laissons donc le sommelier choisir les vins pour nous et nous les servir à l’aveugle.
Mais comment ont-ils eu connaissance du blog ?
Il se trouve que notre charmant petit couple fréquente très régulièrement notre bar à Champagne préféré, le Dokhan’s ! Mickaël, son chef barman, a joué les entremetteurs…
C’est donc au Dokhan’s que nous nous retrouvons tous les quatre en ce vendredi.
Nous profitons de l’occasion pour commander une bouteille de « 1522 », millésime 2000, de Philipponat.
Pour l’accompagner, Mickaël nous offre des bouchées de saumon et Saint-Jacques fumés.
Nous écoutons religieusement les explications sur le vin : Il s’agit d’un assemblage de 60% de pinot noir et 40% de chardonnay, dégorgé en juin 2008.
Tout d’abord la robe, or-ambrée, lumineuse avec des bulles fines.
Au nez, il est riche, complexe, puissant avec une note orange confite qui domine. Ensuite, se développent des notes de miel, de pêche blanche et de brioche légèrement toastée. C’est un champagne assez vineux, équilibré, long avec une finale fraîche.
L’accord avec la Saint-Jacques fumée est grandiose. Imaginez la finesse du coquillage délicatement fumé avec la note briochée du Champagne… un régal.
La vinification prenant, nous décidons de dîner tous les quatre dans les jardins du « Relais du Parc » qui se trouve à deux pas de là.
Ne sachant que choisir, nous optons pour une formule « carte blanche ». Pour corser le tout, nous aurons chacun des plats différents. Quitte à être aventureux, autant être téméraires ! Nous laissons donc le sommelier choisir les vins pour nous et nous les servir à l’aveugle.
Les entrées : duo de saumon, soupe froide de petit pois, foie gras de canard et langoustines au bouillon de crustacés.
Le vin : Côtes de Provence blanc « Cuvée Clarendon » 2005 du Domaine Gavoty.
Des notes ensoleillées de poire juteuse, de fleur de pêche et de brioche tiède. En bouche, pas de doute, c’est un vin du sud. De plus, il a un peu de sucre résiduel qui accentue cette impression de chaleur. C’est un beau vin.
Le vin : Côtes de Provence blanc « Cuvée Clarendon » 2005 du Domaine Gavoty.
Des notes ensoleillées de poire juteuse, de fleur de pêche et de brioche tiède. En bouche, pas de doute, c’est un vin du sud. De plus, il a un peu de sucre résiduel qui accentue cette impression de chaleur. C’est un beau vin.
Les plats : Lotte à l’armoricaine, boudin noir aux pommes, darne de thon et cocotte de volaille.
Le vin : Côtes de Castillon Château Cadet 2005 (à ne pas confondre avec son homonyme bêlant).
Un nez bordelais flatteur avec de notes de fruits rouges et noirs (framboise du jardin et cassis) dans un fond beurré.
En bouche, le type bordelais rive droite se confirme sans que je puisse mettre un nom sur l’appellation. Il a un très beau fruit et la fraîcheur nécessaire pour aller avec ma lotte à la sauce armoricaine.
Les desserts : tarte au chocolat, tarte chaude aux poires, coupe de fraises, parfait au café.
Le vin : Coteaux de Saumur 1996 des frères Foucault.
Au nez, il me rappelle la typicité d’un chenin botrytisé avec sa note d’abricot sec et de confiture de poire. Par contre, ô surprise, en bouche il pétille ! Les petites bulles lui apportent une fraîcheur agréable même si l’effet n’était pas voulu au départ.
Merci à C et J pour cette excellente soirée riche en rires, partages et émotions. J’espère que d’autres soirées suivront.
Le vin : Côtes de Castillon Château Cadet 2005 (à ne pas confondre avec son homonyme bêlant).
Un nez bordelais flatteur avec de notes de fruits rouges et noirs (framboise du jardin et cassis) dans un fond beurré.
En bouche, le type bordelais rive droite se confirme sans que je puisse mettre un nom sur l’appellation. Il a un très beau fruit et la fraîcheur nécessaire pour aller avec ma lotte à la sauce armoricaine.
Les desserts : tarte au chocolat, tarte chaude aux poires, coupe de fraises, parfait au café.
Le vin : Coteaux de Saumur 1996 des frères Foucault.
Au nez, il me rappelle la typicité d’un chenin botrytisé avec sa note d’abricot sec et de confiture de poire. Par contre, ô surprise, en bouche il pétille ! Les petites bulles lui apportent une fraîcheur agréable même si l’effet n’était pas voulu au départ.
Merci à C et J pour cette excellente soirée riche en rires, partages et émotions. J’espère que d’autres soirées suivront.
Gwenola