Dernière nocturne de l'année au Bar 228 et petite mise en condition avant les fêtes : champagne !

Nous commençons avec le Blanc de Blancs 2002 de Jacques Lassaigne. Le nez est peu expressif, un peu toasté et citronné. En bouche, une attaque franche avec une effervescence modérée. La matière est élégante avec une petite amertume. De la longueur et de beaux arômes.

Dom Pérignon 2000 : un nez expressif mais difficile à définir. La bouche est ample, très boisée avec peu de longueur. Clairement, il se goûte très mal ce soir, au grand dam de Nicolas Rebut.

Cuvée William Deutz 1999 : un nez poudré (la salle de bain de ma grand-mère…) et zeste de citron. La bouche est ample, très aromatique avec une belle longueur sur le pamplemousse chinois. J’adore ce vin qui est ma découverte de la soirée.

L’accord ? Plaisant et surprenant, le vin gardant une excellente tenue face au gibier, le tout prenant une superbe élégance.
Nous terminons (déjà ?!) avec le champagne Bollinger Rosé. Le nez est massif, peu expressif, mais dans le style de la maison. La bouche est très ample, vineuse mais fraîche, aromatique (fruits rouges) avec une petite amertume. La nouveauté de la maison Bollinger est de bonne facture et nous sommes heureux de pouvoir le déguster en situation.

Le Bollinger reprend de la vigueur à son contact, les notes de fruits rouges apportant une touche supplémentaire au bouquet sucré. C’est le bonheur.
François
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